LE MOTIF MERE-FILLE DANS L’ŒUVRE DE CALIXTHE BEYALA :UNE CASTRATION SYMBOLIQUE

dc.contributor.authorSIWOKU-AWI, OMOTAYO
dc.date.accessioned2019-06-27T13:56:02Z
dc.date.available2019-06-27T13:56:02Z
dc.date.issued2009
dc.descriptionCALIXTHE BEYALA BY HER ICONOCLAST REALIST NOVELS HAS RAISED THE ISSUE OF MOTHERS WHO ABANDON THEIR CHILDREN TO SUBSTITUTES FOR THE FREEDOM TO CHASE MONEY AND IN THE CASE OF HER FEMALE CHARACTERS IT IS A CASE OF BEING FREE TO PROSTITUTE. THIS SEPARATION BETWEEN MOTHER AND DAUGHTER IS A SYMBOLIC CASTRATION AND A RUPTURE OF PARENTAL LINK. THE EFFECTS CAN BE VERY DISASTROUS ON THE CHILD JUST LIKE EVERY OTHER PATRIARCHAL PRACTICE. THE CHILD MAY SUFFER FROM NERVOUS CONDITIONS AND SOME OTHER PSYCHOLOGICAL DEFECTS INCLUDING BACKWARDNESS IN LEARNING AND ACHIEVEMENT.en_US
dc.description.abstractPendant presqu’une décennie de 1987 à 1996, Beyala se montre comme l’écrivain féministe le plus prolifique. Chacun de ses romans a connu du succès éclatant dans des universités occidentales, américaines et dans des colloques scientifiques (Ambroise Kom, 1996). Beyala publie ses ouvrages chez divers éditeurs parisiens : C’est le soleil qui m’a brûlée (Stock, 1987) Tu t’appelleras Tanga (Stock, 1988) ; Seul le diable le savait (Belfond-Le pré aux clercs, 1990) ; Le petit prince de la Belleville (Albin Michel, 1992) ; Maman a un amant (Albin Michel, 1993) ; Assèze, l’Africaine (Albin Michel, 1994) ; Lettre d’une sœur à ses sœurs occidentales (Spengler, 1995) ; Les honneurs perdus (Albin Michel, 1996). Cet article fait un survol de tous les romans afin d’en faire sortir les rapports mère-fille qui causent des souffrances psychologiques énormes à la jeune fille. Beyala fait le cas des mères évadées qui délaissent leurs enfants pour la recherche de l’argent ; ceci représente une castration symbolique car le lien de parenté et coupe qui se manifeste dans l’enfant névrotique ou arriéré. La mère patriarcale fait subi l’enfant aux exigences des traditions qui causent le déchirement à l’enfant, telles que la mutilation génitale et le mariage forcé ou la prostitution où l’homme domine. L’auteure conclut qu’il faut faire écrouler le système patriarcat et que les gouvernements africains mettent en place les projets d’amélioration de la vie.en_US
dc.description.sponsorshipCONTRIBUTING AUTHORS AND THE RUSSIAN GROUP OF THE DEPARTMENT OF EUROPEAN STUDIES, UNIVERSITY OF LAGOS.en_US
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/2370
dc.language.isofren_US
dc.publisherTHE RUSSIAN LANGUAGE GROUP OF THE DEPARTMENT OF EUROPEAN STUDIES UNIVERSITY OF LAGOS, AKOKAen_US
dc.subjectMERE EVADEEen_US
dc.subjectL'ENFANT NEVROTIQUEen_US
dc.subjectFILLE ARRIEREEen_US
dc.subjectLE DEVERGONDAGE DES PARENTSen_US
dc.subjectL'EDUCATIONen_US
dc.subjectLE CHOMAGEen_US
dc.subjectLA PROSTITUTIONen_US
dc.titleLE MOTIF MERE-FILLE DANS L’ŒUVRE DE CALIXTHE BEYALA :UNE CASTRATION SYMBOLIQUEen_US
dc.typeBook chapteren_US

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THIS IS A CHAPTER IN THE BOOK READINGS IN HUMANITIES IN HONOUR OF PROFESSOR SEGUN ODUNUGA
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